SUD

SOLIDAIRES, UNITAIRES, DÉMOCRATIQUES
Avec plus de 100 000 adhérent-e-s, dont un tiers dans le secteur privé, l’Union syndicale Solidaires est aujourd’hui un acteur majeur du champ syndical hexagonal. SUD éducation est son syndicat dans notre secteur professionnel, de la Maternelle à l’Université. Nous syndiquons TOUS les personnels, quelle que soit leur catégorie, quel que soit leur statut, précaires ou titulaires, dans un seul et MÊME syndicat : parce que nos intérêts sont les MÊMES !
Rejoignez-nous : sud.univ.orleans@gmail.com

mercredi 18 juin 2014

SUD éducation appelle à participer à la mobilisation le 18 juin contre la COMUE (17/6/14)

Communiqué de la fédération SUD éducation
La loi Fioraso prévoit la création de grands regroupements universitaires (les COMUE) mis en concurrence pour répondre aux injonctions du grand marché com-pétitif mondial de « l’économie de la connaissance ». L’Etat ne contractualisera plus avec chaque université mais directement avec la COMUE, qui reversera ensuite les fonds aux différents membres. Au départ, chaque université devra transférer un cer-tain nombre de compétences à la COMUE qui pourra d’elle-même élargir ensuite ses compétences ! Chaque université aura pour obligation de se soumettre aux décisions et aux orientations de la COMUE, dont les instances seront tout sauf démocratiques puisque les représentants du personnel seront minoritaires et élus le plus souvent au suffrage indirect !

vendredi 23 mai 2014

11 juin : Contre la catastrophe annoncée pour la recherche et l’enseignement supérieur (22/05/14)

Appel des syndicats de l’enseignement-supérieur et de la recherche, à l’occasion de la session plénière du Comité national
Signataires : CGT (SNTRS, FERC Sup, CGT INRA) - CFDT (SGEN - CFDT) - FO (SNPREES) - FSU (SNESUP, SNCS, SNASUB, SNEP- SNETAP) - Solidaires (Sud Recherche EPST, Sud Education) - UNSA (Sup’Recherche, SNPTES) - UNEF
Le Conseil scientifique du CNRS a diffusé récemment un document sur la situation de l‘emploi scientifique au CNRS et les sombres perspectives pour la recherche et l’enseignement supérieur. Pour peser dans le débat public sur l’emploi scientifique, une session plénière du Comité national de la recherche scientifique est convoquée le 11 juin 2014.

mardi 6 mai 2014

Fiche harcèlement moral (06/05/14)

Le harcèlement moral, c’est quoi ?
Le harcèlement moral est une forme de violence insidieuse au sein du travail. La loi organise la protection des salariés, des agents publics et des stagiaires contre ce dernier.
Le harcèlement moral se manifeste par des agissements répétés, ayant pour effet une forte dégradation des conditions de travail et qui :
· portent atteinte à ses droits et à sa dignité,
· altèrent sa santé physique ou mentale,
· compromettent son avenir professionnel.

Sachez repérer les signes !
Peut-être qu’aujourd’hui votre chef vous a retiré une fonction ou une tâche, soit qu’elle vous était habituellement attribuée, soit qu’elle vous avait été promise.
Votre supérieur vous a tendu un piège, reproché une faute ou humilié en public.
Vous avez repéré un changement d’attitude de vos collègues qui semblent gênés en votre présence et vous évitent.
Il s’agit peut-être d’un début de harcèlement. N’attendez pas qu’il soit trop tard : c’est dès le début qu’il faut réagir !

vendredi 18 avril 2014

Réoccupons nos universités (16/4/14)

Tract de la fédération SUD éducation sur les regroupements des établissements universitaires imposés par la loi Fioraso
La loi dite Fioraso imposera en juillet 2014 à toutes les universités de se regrouper. Cette loi se veut irréversible dès que les regroupements auront été mis en place. Elle n’est que la finalisation de la marchandisation du service public universitaire.
Mais la loi sur les modalités de regroupement des établissements universitaires est interprétable de différentes manières. Fioraso en a une interprétation restrictive qui est même contestée par des députés : www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article6656

mercredi 9 avril 2014

Communauté d’Universités et d’Etablissements (ComUE) : exigeons un véritable débat collectif ! (9/4/14)

Le 8 avril 2014 notre Président annonçait une future communauté d’universités et d'établissements (COMUE) à « cinq » avec les universités de La Rochelle, Limoges, Orléans, Poitiers et Tours, les écoles et les organismes de recherche présents localement (CNRS, BRGM, Inserm, Inra, etc.). Il annonçait également le développement de pôles scientifiques d’excellence, d'envergure et de compétitivité internationales tout en promettant de maintenir l’ancrage territorial et la proximité pour la réussite des étudiants, l’épanouissement des personnels, le développement économique des territoires (sic).

lundi 7 avril 2014

Pacte de responsabilité : A propos du texte Patronat/CFDT/CFTC/ CGC

Le relevé de conclusions qui clôt les négociations menées entre le MEDEF, la CGPME, l’UPA, la CGT, FO, la CFDT, la CFTC et la CGC n’est pas seulement inutile en termes de lutte contre le chômage ; il valide l’analyse patronale de la situation économique qui consiste à renvoyer sur les travailleurs et les travailleuses la responsabilité de « la crise » ; il entérine les milliards d’euros offerts au patronat pour enrichir les actionnaires ; il annonce des mesures restreignant les droits des représentant-es des salarié-es et des syndicats.
Lire la suite ICI (document SOLIDAIRES, en pdf)

Maintenant ça suffit ! Marchons contre l’austérité pour l’égalité, et le partage des richesses.

Paris - Samedi 12 avril - 14 heures - République/Nation
Deux cent responsables syndicaux, associatifs, politiques, personnalités ont signé un appel à une grande marche nationale le 12 avril à Paris : « Maintenant ça suffit ! ».
La fédération SUD éducation s’est associée à cet initiative et appelle à participer massivement à cette mobilisation.
 
Lire l'appel ICI     PNG - 575.9 ko

L’extrême droite s’attaque à une enseignante syndicaliste (31/3/14)

C’est avec stupeur et colère que la fédération SUD éducation a appris l’attaque grave et ignominieuse menée à l’encontre d’une enseignante en maternelle de Joué-lès-Tours dans l’Indre-et-Loire (37) par le groupuscule d’extrême droite « Journée de retrait de l’école » (JRE) qu’anime Farida Belghoul.
Ci-dessous, les communiqués de la Fédération SUD éducation et du syndicat SUD éducation d’Indre-et-Loire.

vendredi 14 mars 2014

Mardi 18 mars 2014 : Grève Public + Privé contre l’austérité

Mardi 18 mars a enfin lieu une mobilisation intersyndicale (CGT/FO/FSU/SUD-Solidaires) de tou-te-s les salarié-e-s contre la politique d’austérité poursuivie par le gouvernement. Au-delà des discours sur la priorité à l’éducation et de quelques mesures jugées positives par des collègues, c’est cette même politique d’austérité dont nous subissons les conséquences dans l’Éducation Nationale.
Rendez-vous à 10h30 :
ORLÉANS : Place du Martroi
MONTARGIS : Place du Pâtis
GIEN : Place de la Victoire
PITHIVIERS : devant la sous-préfecture

Lire la suite sur SUD Educ Loiret ICI

mercredi 5 mars 2014

Non à l’austérité et au « pacte de responsabilité » : RDV le 18 Mars 2014

Communiqué unitaire des syndicats de l’Enseignement Supérieur & Recherche (28/02/2014)
CGT (SNTRS, CGT-INRA, FERC-SUP), FSU (SNESUP, SNCS, SNASUB, SNEP), SNPREES-FO, SOLIDAIRES (Sud Recherche EPST, Sud Education)
Ils détruisent notre protection sociale et nos services publics, dégradent nos salaires et nos conditions de travail !
Les dernières annonces du Président de la République confirment une rigueur accrue et constituent une nouvelle attaque contre la protection sociale des salariés, le service public et ses agents.
Le « pacte de responsabilité » propose d’exonérer le patronat de 35,2 milliards d’euros de cotisations à la branche famille de la sécurité sociale en transférant cette somme vers le budget de l’État. Après les multiples exonérations déjà accordées, ce nouveau cadeau au patronat remet gravement en cause notre système de protection sociale. C’est une confiscation pure et simple d’une partie de notre salaire destinée à financer notre protection sociale. 

mardi 4 février 2014

Contre les offensives homophobes et sexistes ! (SUD Educ 28/1/14)

Pour une école ouverte et émancipatrice !
La mobilisation des réseaux fascistes et réactionnaires se poursuit, et l’école est désormais une de leur cible. Ils s’attaquent frontalement aux programmes de lutte contre les stéréotypes de genre, et contre les discriminations sexistes et homophobes, proposés dans les établissements scolaires.
Sur les réseaux sociaux, et à travers l’envoi de textos et la distribution locale de tracts, les parents d’élèves ont été invités la semaine dernière à ne pas envoyer leurs enfants à l’école pour protester « contre la théorie du genre » ainsi qu’une prétendu « éducation sexuelle prévue à la maternelle à la rentrée 2014 avec démonstration ».

DROIT DE REPONSE : « Ce n'est pas parce qu'il y a un hôpital qu'il y a des malades », déclarait le Président de l’Université d’Orléans le 17 janvier 2014. Faut-il encore pouvoir trouver l’hôpital ! (2/2/14)

L’autonomie des universités, mise en place par la loi LRU, puis renforcée sous l'ère Fioraso, s’est traduite dans les faits par la dégradation des conditions de travail des personnels, l’augmentation de la précarité, des restructurations de services inquiétantes, l’instauration de « primes au mérite » et des mutations forcées ou très fortement sollicitées engendrant une montée de la souffrance au travail chez les personnels. Il s’agit d'un mal diffus qui touche tous les services et toutes les catégories de personnel.

mardi 21 janvier 2014

Les vrais assistés... c'est le Medef !

Clip Solidaires de 2 minutes dans le cadre de l’émission Tv "Expression directe", à voir ICI


Le pacte d’impunité pour le capital, communiqué Solidaires (14/1/14)

Avec « le pacte de responsabilité », François Hollande poursuit la politique libérale pro-patronale dont il a toujours été porteur, comme ses prédécesseurs.
Une fois de plus, il sert les intérêts du MEDEF.
Depuis le début du quinquennat, c’est une suite de mesures économiquement inefficaces et socialement injustes : exemption pour le patronat du paiement des cotisations sociales de la branche famille (35 milliards d’euros), fausse remise à plat fiscale… Celles annoncées ce jour sont aussi dans le droit fil d’une conception libérale de la politique de l’offre, du « coût » du travail, et du partage toujours plus inégal des richesses.
Le patronat paiera moins de cotisations sociales et les salarié-es règleront la facture au travers de la baisse des dépenses publiques, donc de la dégradation de la redistribution sociale (dont la sécurité sociale) et des services publics. La réorganisation des collectivités locales aura des conséquences sociales, même si leur portée ne peut être mesurée à l’aune des annonces très floues qui sont faites.

50 milliards d’économies ... La politique de la terre brulée pour la fonction publique ! (janvier 2014)

Communiqué SUD Educ Loiret - SUD Univ Orléans
Partout en France, les mêmes problèmes persistent : difficultés à finir le mois, casse du service public, accès aux soins et logements mis à mal… Ces difficultés au quotidien ne sont que la conséquence de politiques d’austérité volontaires, évitables et coordonnées à l’échelle mondiale. Les universités ne sont pas épargnées et pratiquent également des coupes budgétaires. Le processus de Bologne, les lois LRU puis la loi FIORASO, qui s’inscrit dans la continuité du premier, ont étranglé financièrement les établissements, détruisant petit à petit l’Enseignement supérieur et la recherche (ESR).

Décret statutaire des Enseignants-chercheurs : Ne pas publier en l’état et ouvrir de véritables négociations (janvier 2014)

Communique Intersyndical sur decret statutaire des enseignants-chercheurs SNESUP-FSU, SupAutonome, FERC-SUP CGT, SNTRS-CGT, CGT-INRA, Sud Education, SNPREES-FO 
Le Comité Technique des personnels titulaires et non titulaires des Universités (CTU) a examiné le projet de décret statutaire des enseignants-chercheurs le 9
janvier 2014. Le vote final du CTU est sans équivoque : 0 voix pour, 9 voix contre (SNESUP-FSU, SupAutonome, FERC-SUP CGT), 4 abstentions (SGEN-CFDT, Sup’Recherche UNSA). En l'absence remarquable, et remarquée, de la ministre, la représentante du MESR a opposé une fin de non recevoir à la quasi-totalité des dizaines d'amendements, proposés et argumentés par les organisations syndicales, et pourtant votés très majoritairement.